Amara : « Rien n’est gagné en Tunisie »

Fadela Amara a fait part sur Europe 1 lundi matin de ses craintes après la révolution en Tunisie. "Ma grande peur, c’est que les groupuscules islamistes confisquent cette révolution. Quand on est dans des périodes aussi fragiles, la tentation obscurantiste existe", a indiqué lundi matin l’ancienne secrétaire d’Etat en charge de la politique de la Ville.

"Je suis très méfiante", a ajouté Fadela Amara. Pour l’ancienne présidente de l’association Ni putes ni soumises, "il faut accompagner l’état de droit en Tunisie".

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