L’État, actionnaire à 15%, a demandé la mise en place d’une gouvernance intérimaire, ayant pris acte que M. Ghosn n’est plus en état de diriger le groupe, avait indiqué auparavant le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire.
Le conseil d’administration de Renault, dont le PDG Carlos Ghosn a été arrêté au Japon, va se réunir mardi "dans la journée", a annoncé un porte-parole du constructeur automobile français à l’AFP.