"Je ne vois pas d’autre solution que de démissionner le gouvernement et de dissoudre l’Assemblée nationale", a lancé l’eurodéputée à Charleville-Mézières où elle procédait à un tractage devant une usine d’équipement automobile.
Dans un communiqué, le parti juge "inenvisageable que les plus hautes autorités de l’Etat n’aient pas eu connaissance" du compte de Jérôme Cahuzac, rompant "le pacte de confiance censé les lier aux Français".