Selon cette enquête, 43% des sondés se sentent plus proches de Marine Le Pen que de son père (2%), avec lequel elle est en conflit depuis qu’elle a qualifié sa dernière sortie antisémite de "faute politique". 54% des Français ne veulent pas choisir.
Chez les électeurs FN, 82% se sentent plus proches de la présidente du Front national que de Jean-Marie Le Pen, 9% étant d’un avis inverse tandis que 9% ne se prononcent pas.
Pour 81% des Français et 74% des sympathisants frontistes, le maintien de Jean-Marie Le Pen au poste de président d’honneur est un handicap pour le parti, seuls respectivement 18% et 26% y voyant un atout.
Dans la cadre de la stratégie de dédiabolisation suivie par Marine Le Pen, 61% des électeurs FN pensent que le changement de nom du FN serait un atout et 37% y voient un handicap.