Une assignation a été délivrée au tribunal de grande instance de Grasse.
Selon les informations du Figaro, le plaignant demande 45 millions d’euros de réparation à l’entreprise américaine. Une première audience est prévue le mois prochain.
"Sans le savoir, l’entrepreneur azuréen aurait lui-même mis entre les mains de son épouse l’instrument de son infortune, en lui empruntant son iPhone pour commander un Uber et en s’identifiant avec son propre compte", souline le Figaro, précisant que même déconnecté, "l’iPhone espion aurait continué à recevoir des informations liées au compte Uber de l’homme d’affaires, par le biais des notifications".
"Les détails de ses commandes (le nom du chauffeur, sa plaque d’immatriculation ou encore l’heure d’arrivée) auraient pu être lus à son insu par son épouse, comme dans un livre ouvert", ajoute Le Figaro.