Le mis en cause, un ancien employé d’un centre d’appel, est poursuivi pour "constitution d’une bande criminelle dans le but de préparer et de commettre des actes terroristes dans le cadre d’un projet collectif visant à porter gravement atteinte à l’ordre public" et apologie du terrorisme, conformément à la loi anti-terroriste.
La Chambre a décidé le report du procès au 27 novembre pour permettre la convocation de la défense de l’accusé et la désignation d’un interprète assermenté.