Le responsable n’a pas précisé la cause du décès de Tarek Aziz, qui souffrait depuis longtemps de problèmes cardiaques et respiratoires, d’une tension artérielle élevée et de diabète.
En 2011, l’ancien ministre avait demandé au Premier ministre d’alors, Nouri Al-Maliki, de hâter son exécution à cause de sa mauvaise santé.
Tarek Aziz avait été condamné à mort en 2010 après avoir été jugé coupable de "meurtre délibéré et crimes contre l’humanité" pour la répression qui avait visé des partis religieux dans les années 1980. Il avait également été condamné à plusieurs peines de prison pour d’autres accusations.