Mais le texte final diffusé dans la nuit de jeudi à vendredi ne mentionne plus le recours possible à "des mesures restrictives (sanctions, ndlr) complémentaires" visant des "soutiens" du régime de Damas, comme le faisait un projet d’accord consulté jeudi matin par l’AFP.
"L’Union européenne est en train d’envisager toutes les options disponibles si les atrocités continuent", peut-on lire dans les conclusions finalement adoptées.
Les 28 y demandent aussi "une cessation immédiate des hostilités" à Alep, comme l’a rappelé Donald Tusk, président du Conseil européen, qui représente les 28 Etats membres.