"Les négociations doivent reprendre au plus vite" et doivent être menées sous l’égide des Nations Unies, dans le cadre qui a été fixé dès 2012 à Genève, a relevé le chef de l’Etat français lors de ses vœux au corps diplomatique.
"Les paramètres sont déjà posés. Il convient donc de rassembler les parties prenantes, toutes les parties prenantes, sauf les groupes fondamentalistes et extrémistes, et d’agir dans le cadre de Genève", a-t-il insisté, ajoutant que "nous devons également impliquer tous les acteurs de la région et je n’en écarte aucun" en citant notamment l’Iran.
"J’ai toujours affirmé qu’une transition politique en Syrie était nécessaire et qu’elle impliquait de n’écarter aucun acteur de la région et de parler à tous, y compris le régime," a encore dit M. Hollande.