Outre les véhicules déjà en circulation, "les nouvelles voitures vont être aux normes", a assuré la ministre de l’Écologie.
Pour que ces anomalies soient découvertes, il a fallu que l’État revoie la façon de procéder aux tests antipollution. "On peut dire que les tests n’étaient pas suffisants. C’était des tests sur banc, c’est-à-dire statiques", a indiqué Ségolène Royal qui précise ces contrôles sont désormais réalisés en conduite réelle. "Après le scandale de la fraude Volkswagen, nous avons décidé de mettre des tests incontestables. Mais ce que nous voulons, c’est sauver l’industrie automobile en garantissant les droits du consommateur", a-t-elle assuré.