ette méta-analyse avance plusieurs hypothèses pour expliquer ce paradoxe, comme les effets bénéfiques des plus grandes réserves d’énergie dans l’organisme ou encore le fait que les personnes légèrement obèses prennent davantage de traitements médicaux.
L’analyse parue dans le Journal of the Medical American Association (JAMA) fait la synthèse de 97 études couvrant 3 millions d’individus dans le monde.