Premiers votes pour la primaire socialiste élargie, suspense maximal

Les électeurs de certains territoires d’Outremer et les Français de l’étranger ont commencé à voter samedi au premier tour de la primaire organisée par le PS, avec un suspense total sur l’issue de la consultation et la mobilisation que révèlera la participation au scrutin.

Un trio de tête se détache dans les intentions de vote. Nul ne sait qui seront les deux qualifiés pour le second tour, parmi l’ex Premier ministre Manuel Valls, qui s’est lancé en décembre après le renoncement de François Hollande, et deux représentants des "frondeurs" qui n’ont cessé de contester la politique menée depuis 2014, les anciens ministres Benoît Hamon et Arnaud Montebourg.

En raison du décalage horaire, les électeurs de Martinique, Guadeloupe, Saint-Martin, Saint-Barthélémy, Guyane, Saint-Pierre-et-Miquelon et Polynésie française ont pu commencer à voter samedi.

Le reste des territoires d’Outre-mer (Nouvelle-Calédonie, Réunion, Mayotte) voteront dimanche.
Au total, 7.530 bureaux de vote, soit moins qu’en 2011 (9.425) et moins que lors de la primaire de la droite (10.228) seront ouverts, et il en coûtera un euro pour glisser son bulletin dans l’urne.

Dimanche, les candidats iront voter chacun dans son fief : Arnaud Montebourg à Montret (Saône-et-Loire), Benoît Hamon à Trappes, Manuel Valls à Evry, Vincent Peillon dans le 5e arrondissement de Paris, Sylvia Pinel à Castelsarrasin (Tarn-et-Garonne), François de Rugy à Nantes et Jean-Luc Bennahmias à Marseille.

Avec AFP

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