Selon Libération, l’enquête, menée par la gendarmerie, en charge de la sécurité du Palais, n’a pas permis de confondre l’auteur de la photo. Pour autant, il a fallu à peine 24 heures à l’entourage du chef de l’Etat pour comprendre que la photo avait bien été prise avec un téléphone portable depuis les appartements privés du président et que le ou la photographe amateur faisait partie du personnel affecté au "service privé" de François Hollande.
Toujours selon Libération, quatre des cinq collaborateurs mutés avaient été embauchés par Nicolas Sarkozy. L’entourage du président Hollande voit dans cette affaire de photos volées la confirmation qu’une ou plusieurs taupes informaient depuis deux ans Nicolas Sarkozy et son entourage, de certains faits et gestes de François Hollande, ajoute-t-il.