« Mohammed VI, Le coeur et la raison » et « Maroc-Algérie: L’appel de l’avenir », deux livres de Touhami Tahiri-Alaoui

L’écrivain Touhami Tahiri-Alaoui a signé, samedi à Casablanca, ses deux ouvrages « Mohammed VI, Le cœur et la raison » et « Maroc-Algérie : L’appel de l’avenir », parus respectivement aux éditions « La porte » et « Continents », dans le cadre de la 17ème édition du Salon international de l’édition et du livre (SIEL).

Dans son livre consacré au Roi Mohammed VI, l’auteur aborde à travers huit chapitres (279 pages) le poids de l’histoire du Maroc, ses constantes, le règne du Souverain, la question de l’intégrité territoriale, les réformes, la politique étrangère, les grands chantiers et les atouts du Royaume.

"L’histoire nous enseigne que, chaque fois qu’il a été secoué par un évènement grave, le Maroc a su de tout temps rebondir, avec opiniâtreté, afin de reprendre son destin en main", écrit l’auteur dans son avant-propos.

Pour l’écrivain, "le règne de feu Hassan II a réalisé l’unification politique du Royaume, la consolidation de ses institutions et le parachèvement de son intégrité territoriale". Et de relever que "son successeur le Roi Mohammed VI a eu le grand mérite de pérenniser cet héritage".

"Bien plus, son œuvre, depuis une décennie, montre, si besoin en était, que le concept d’unité spirituelle des institutions et celui d’intégrité territoriale doivent se traduire dans le concret", écrit-il.

Touhami Tahiri-Alaoui estime que "la décennie du Roi Mohammed VI a déjà posé les jalons d’une nouvelle politique, soulignant l’engagement résolu du Souverain dans l’édification d’un "Maroc démocratique, fidèle à ses racines mais résolument ouvert sur le monde moderne et sur le partage des valeurs universelles".

Dans son second ouvrage "Maroc-Algérie : L’appel de l’avenir" (239 pages), l’auteur revient sur l’histoire parallèle des deux pays, la fatalité de la géographie, la coopération et l’intégration algéro-marocaines, la question du Sahara et les atouts pour une convergence porteuse.

Touhami Tahiri-Alaoui estime que c’est à l’Algérie et au Maroc qu’échoit le rôle unificateur du Maghreb, car ils sont les seuls à pouvoir donner plus de cohésion à l’ensemble maghrébin, rappelant l’histoire commune des deux peuples, qui "se nourrit de la mémoire collective, surtout quand celle-ci s’est forgée dans la lutte commune".

"Il faut bien sûr que la volonté de réconciliation ne soit pas unilatérale, mais partagée, si cela pouvait se réaliser, l’Algérie et le Maroc auraient une chance d’accéder au club des pays les plus dynamiques dans la voie vers le développement", écrit l’auteur.

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