"Dès le samedi 23/05/2015, le patron de la rédaction Joseph Macé-Scaron a été alerté que des menaces de mort étaient proférées à l’encontre du journal sur les réseaux sociaux, à savoir Twitter et Facebook", indique la plainte déposée mardi et consultée par l’AFP. Selon le texte de la plainte, figure le tweet suivant: "A quand le mitraillage de la rédaction de Marianne?".
"Ces menaces résonnent douloureusement"
"Quatre mois après les attentats qui ont inspiré aux journalistes ce dossier, après la mort d’un des leurs, le dessinateur Tignous, ces menaces résonnent douloureusement", écrit Marianne dans un communiqué. En plus de ces menaces de mort, l’hebdomadaire dit avoir reçu des "centaines d’insultes à caractère raciste et antisémite", ajoute le texte.