M. Anouzla, directeur du Lakome, reste toutefois inculpé pour "aide matérielle", "apologie" et "incitation au terrorisme". Une nouvelle audience devant le juge d’instruction est d’ailleurs prévue mercredi prochain.
Le journaliste Ali Anouzla, incarcéré pour "apologie d’actes terroristes", a été remis en liberté. Une demande en ce sens avait été déposée mardi dernier par son avocat Me Semlali auprès du juge d’instruction de la cour d’appel de Salé, près de Rabat.