Les journalistes et salariés de Radio Orient demandent, notamment, aux "propriétaires de la station (la famille Hariri), ses actionnaires principaux de "ne pas adopter les plans de la direction dans leurs états actuels, de nommer un médiateur externe indépendant pour essayer de régler les problèmes qui s’aggravent de jour en jou et de garantir le financement de la radio pour les trois années à venir".
"Nous ne sommes pas rassurés sur notre avenir au sein de cette station ni sur les conditions des départs", s’alarme un journaliste dans une déclaration à atlasinfo.fr. "Nous allons nous retrouver une douzaine de journalistes au chômage. Ce n’est pas facile de trouver autre chose quand on a passé 20 ans dans cette boîte", renchérit un autre.
"Les gros salaires qui ont creusé le déficit restent et c’est nous qui payons l’échec de la gestion de la direction", se lamente-t-il.