Selon le directeur général de l’ISRA, Macumba Diouf, le développement de ce vaccin, grâce aussi à l’appui du Fonds national de recherches agricoles et agroalimentaires (FNRAA), vient en réponse à la demande des producteurs, sachant que la variole aviaire est l’une des principales contraintes au développement de l’aviculture en milieu rural.
Avec la maladie de Newcastle et les parasitoses, la variole aviaire avait fini de prendre des proportions inquiétantes en zone rurale. Conscients de ce danger, les chercheurs de l’ISRA ont décidé de réadapter l’ancien vaccin, dont la fabrication avait été arrêtée, sous une nouvelle forme orale beaucoup plus adaptée à l’usage, a-t-il expliqué.