Les confidences du frère de Valérie Trierweiler sur la rupture présidentielle

William Massonneau, le frère de Valérie Trierweiler s’est confié à des journalistes de la version espagnole de Vanity Fair. L’ex-compagne de François Hollande a réagi sur twitter à cet article et un autre publié par Le Monde.

Le frère aîné de Valérie Trierweiler s’est confié à l’édition espagnole de Vanity Fair sur la relation et la rupture entre sa sœur et François Hollande.

William Massonneau raconte sa visite à l’hôpital, malgré les restrictions ordonnées par les médecins. «Je me suis rendu compte qu’elle pouvait à peine dire quelques mots. Elle devait sortir le plus vite possible pour prendre en main son destin», explique-t-il.

Par ailleurs, dans un long article, Le Monde , raconte comment le conseiller santé de François Hollande, le professeur Olivier Lyon-Caen, aurait été appelé tôt le matin le jour de la parution du magazine Closer révélant la supposée relation entre François Hollande et Julie Gayet. Il serait venu à l’Élysée avec une proche du couple, Brigitte Taittinger, pour «exfiltrer» discrètement Valérie Trierweiler vers l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière.

Sur la relation de sa sœur avec le président:

«La relation entre ma sœur et Hollande a été influencée par les événements politiques. Ils n’étaient pas Valérie et François. Ils étaient le Président et la première dame.»

Sur le dernier réveillon passé dans la famille Trierweiler quelques semaines avant la rupture:

«Nous avons pris un repas chez moi. Ma mère, mes frères, des neveux, Valérie et lui. Nous sommes une famille grande et unie, précise William Massonneau. Les chiffres du chômage allaient être publiés et ils n’étaient pas bons. Hollande savait que cela affecterait son image, qui était déjà très affaiblie. Malgré cela, il était sympathique et agréable avec tout le monde.»

Sur la rupture et l’attitude de François Hollande:

«Ce qu’a fait François Hollande est quelque chose de brutal, cela va au-delà de la trahison» juge William Massonneau. «Moi, je ne me suis jamais comporté de la sorte et j’espère ne jamais faire cela» a-t-il confié au magazine Vanity Fair. «Hollande est un homme doué de beaucoup d’empathie. Mais sa capacité à mener des vies parallèles me dépasse. Son pouvoir de séduction est immense.»

Sur un éventuel livre de sa soeur sur l’affaire:

«Jusqu’à présent, toutes les premières dames qui furent trompées ont accepté la situation. Elles n’ont jamais rien dit… (…) Ce n’est pas normal que les femmes se taisent.»

Reste à savoir si Valérie Trierweiler compte un jour raconter sa "vie avec le président" ? Sa sentence "je te détruirai comme tu m’as détruite" laisse penser que la rédaction d’un livre est dans l’ordre logique des choses. La plupart des éditeurs parisiens ont déjà – directement ou indirectement – pris langue avec elle. En attendant, face aux révélations de Vanity Fair Espagne, l’ex première dame a sèchement démenti sur twitter.

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