"Si ce mandat était avéré, ce serait un acte hostile contre la Côte d’Ivoire et il ne resterait pas sans réponse", a affirmé à l’AFP Moussa Touré, un conseiller de M. Soro. "Nous avons été informés via les réseaux sociaux qu’un mandat d’arrêt contre le président de l’Assemblée nationale ivoirienne aurait été envoyé. La notification par les réseaux sociaux n’a pas de valeur juridique", a-t-il ironisé.
L’entourage du président de l’Assemblée nationale ivoiriennee Guillaume Soro a estimé que la délivrance d’un mandat d’arrêt à son encontre par la justice du Burkina Faso "serait un acte hostile" tout en soulignant ne pas avoir été informé de l’existence de ce mandat.