Le directeur de la police judiciaire parisienne en garde à vue

Bernard Petit est entendu dans le cadre d’une affaire de violation du secret de l’instruction. Des perquisitions au siège du 36, quai des Orfèvres ont été menées mercredi matin, et plusieurs policiers et anciens policiers ont également été placés en garde à vue.

Mercredi 4 février, le patron de la PJ parisienne, son directeur de cabinet, Richard Atlan, ainsi que le syndicaliste Joaquin Masanet, président de l’Association nationale d’action sociale des personnels de la police nationale (ANAS), et Philippe L., l’un de ses collaborateurs, ont été placés en garde à vue dans les locaux de l’Inspection générale de la police (IGPN). La veille au matin, c’est le siège de l’ANAS qui avait été visé par une perquisition, selon des informations du Monde.

Ce nouveau scandale qui ébranle le sommet de la PJ parisienne a été découvert incidemment, tandis que les juges d’instruction Roger Le Loire et Charlotte Bilger enquêtaient sur une affaire de corruption dans l’octroi de titres de séjour impliquant « l’escroc des stars » Christophe Rocancourt, l’ancien secrétaire d’Etat chargé de l’intégration Kofi Yamgnane et Christian Prouteau, le créateur du GIGN.

Laisser un commentaire

Votre adresse email ne sera pas publiée.

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que vous êtes d'accord avec cela, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte Lire la suite