Le Burkina lance sa première campagne présidentielle sans Compaoré

Le Burkina Faso lance dimanche sa première campagne présidentielle post-Compaoré, dont le vainqueur dirigera la première alternance démocratique depuis des décennies dans un pays à l’histoire marquée par de nombreux coups d’Etat.

Initialement prévues le 11 octobre, ces élections présidentielle et législatives ont été reportées au 29 novembre en raison du coup d’Etat manqué du 16 septembre mené par un ancien bras droit de Compaoré, le général Gilbert Diendéré, qui a depuis été arrêté et inculpé de "crimes contre l’humanité" par la justice militaire.

La mobilisation populaire a mis le putsh en échec et l’attente est désormais grande dans ce pays pauvre d’Afrique de l’ouest d’un peu moins de 20 millions d’habitants qui espère voir dans ces élections le début d’une longue ère démocratique.

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