"Les gens qui viennent ne viennent pas par plaisir, ils sont chassés par la misère, par des régimes abjects", a indiqué le ministre, pour qui "il faut aider le développement de ces pays".
Laurent Fabius a aussi plaidé pour un "meilleur contrôle", via l’agence européenne Frontex, qui n’est pas "dimensionné au niveau où [elle] devrait être". "Il faudrait des garde-côtes, y compris du côté des pays du Sud", a assuré Laurent Fabius, appelant également à être "extrêmement durs" avec les passeurs.