Tout en rejetant ces informations relayées par certains médias électroniques, Oueslati a expliqué, lundi, à l’Agence TAP, que ces avions appartiennent bien à l’armée nationale et qu’ils effectuaient, depuis quelque temps, des patrouilles aériennes pour surveiller les frontières terrestres et maritimes dans le sud tunisien.
Ces avions, a-t-il encore précisé, pourraient survoler cette zone, à basse altitude, dans le cadre de missions de reconnaissance ou de contrôle des frontières tunisiennes.
« Il est impossible que des avions inconnus franchissent l’espace aérien tunisien sans qu’ils ne soient interceptés par les unités de l’armée nationale », a-t-il affirmé.