Ce chiffre, en hausse par rapport au dernier trimestre, s’explique notamment par un rebond de la consommation des ménages, qui a connu sa plus forte augmentation depuis la fin de 2004 (+1,2 %), explique la même source, rappelant que les dépenses de consommation des ménages, moteur traditionnel de la croissance en France, avaient reculé de 0,1 % au cours du dernier trimestre 2015, marqué par les attentats de Paris.
L’acquis de croissance pour 2016 est déjà de 1 % à l’issue du 1er trimestre, ce qui signifie qu’avec moins de 0,4 % de croissance chaque trimestre, l’objectif de 1,5 % sur l’année sera atteint, estime l’Institut.
Dans un communiqué, le ministre des Finances Michel Sapin, s’est félicité d’"une croissance solide qui est enclenchée, avec une consommation en forte hausse et un investissement des entreprises qui accélère".
La production augmente et se traduit par plus d’emplois et un recul du chômage (- 49.500 chômeurs au 1er trimestre), a-t-il dit, faisant remarquer que l’action du gouvernement porte ses fruits.