Cette hausse résulte notamment d’un accroissement naturel de la population de 0,2 millions âmes, explique Eurostat, précisant que 5,1 millions de naissances ont été enregistrées en 2014 contre 4,9 millions décès.
La variation démographique restante correspond essentiellement à l’apport du solde migratoire, ajoute la même source.
En 2014, la population a augmenté dans seize Etats membres de l’UE et diminué dans douze, indique Eurostat, relevant que la plus forte croissance démographique a été observée au Luxembourg (+23,9 pour 1.000 résidents) et la plus basse à Chypre (-12,9) et en Grèce (-8,4).
L’Allemagne reste toutefois l’Etat membre le plus peuplé avec 16 % de la population totale de l’UE, devant la France (13,1 %), le Royaume-Uni (12,9 %), l’Italie (12 %), l’Espagne (9,1 pc) et la Pologne (7,5 %).
L’Etat membre ayant affiché le taux de natalité le plus élevé en 2014 demeure l’Irlande (14,4 pour 1.000 résidents) devant la France et le Royaume-Uni, alors que les taux les plus faibles ont été constatés au Portugal (7,9 pour mille résidents), en Italie, en Grèce et en Allemagne (8,6 pour 1.000 résidents).