Les conséquences possibles d’une poursuite de l’épidémie, qui a fait près de 1.000 morts dans quatre pays d’Afrique de l’Ouest, sont "particulièrement graves" compte tenu de la virulence d’Ebola, précise l’OMS, dont le siège est à Genève.
"Une réponse internationale coordonnée est considérée comme essentielle pour arrêter et faire reculer la propagation internationale d’Ebola", déclare l’OMS dans un communiqué publié à l’issue d’une réunion de deux jours de son comité d’urgence.