Ce numéro a été saisi. La direction de L’Express explique avoir pris l’initiative de voiler le visage du prophète.
Contacté samedi par l’AFP, le ministre marocain de la communication Khalid Naciri a déclaré que "nous avons toujours été fermes sur cette question, très sensible pour notre opinion publique". "Cela n’est pas nouveau", a-t-il ajouté.