"Nos frappes visent des lieux d’entraînement des terroristes en Syrie", où des gens s’entraînent "pour mener des combats en Syrie" mais "aussi pour aller poser des bombes dans notre pays", a déclaré sur RTL François Hollande, qui a indiqué qu’environ 600 Français étaient présents "sur les zones de combat" de Syrie et d’Irak.
La France ne frappe pas "telle ou telle catégorie de terroristes" mais "les camps d’entraînement", a déclaré lundi François Hollande, alors que les frappes françaises contre le groupe Etat islamique, qui comprend des combattants français, ont suscité des critiques sur leur légalité.