Au moins 23 personnes sont mortes depuis le 9 février dans le sud de la Guinée d’une maladie encore non identifiée par les spécialistes, a appris l’AFP auprès du ministère guinéen de la Santé. «Une maladie fébrile dont les premiers signes ont été décelés le 9 février a fait au moins 23 morts, dont le directeur de l’hôpital préfectoral de Macenta (sud) et trois autres agents (hospitaliers)sur 36 cas», a déclaré le Dr Sakoba Kéita, chef de la division prévention au ministère de la Santé. «La préfecture de Gueckédou (sud) est la plus touchée avec 13 décès pour 19 cas», a-t-il ajouté en précisant que «la maladie se manifeste par la fièvre, la diarrhée, les vomissements et le saignement chez certains patients».
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