Plusieurs hommes armés avaient ouvert le feu vendredi sur ce marché, et un premier bilan faisait état de douze morts.
Parmi les tués figure un activiste d’une faction du Front démocratique national de Bodoland (NDFB), un groupe séparatiste interdit qui revendique depuis des décennies un territoire indépendant pour les tribus indigènes Bodo.
Selon la police, six hommes auraient mené l’attaque, et l’un d’eux a été tué par la suite par les forces de sécurité qui se sont lancées à leur poursuite.
Avec AFP