«Personne ne doute du fait que Nicolas Sarkozy n’est pas le candidat du peuple, mais le candidat des conservateurs. Les conservateurs européens s’unissent», constate Martine Aubry. «François Hollande n’avait demandé que par courtoisie un rendez-vous avec Merkel. Elle a dit qu’elle ne le souhaitait pas. Il a répondu dont acte.» Elle assure, en revanche, qu’«avec les leaders européens, on n’a pas attendu l’élection pour travailler ensemble, notamment avec nos amis socialistes».
Invitée d’iTélé, la première secrétaire du Parti socialiste minimise l’hypothèse d’un front des dirigeants européens qui refuseraient de recevoir François Hollande avant la présidentielle.