Cette bourde en rappelle d’autres de la part d’élus français, souvent accusés d’être coupés de "la vie réelle". En 2012, par exemple, la députée de droite Nathalie Kosciusko-Morizet avait séché sur le prix du ticket de métro à Paris, en l’évaluant à "4 euros et quelque" au lieu de 1,70 euro.
Ce faux nourrit déjà as risquant de nourrir le sentiment selon lequel les élites vivent déconnectés de la vie quotidienne. Le député a tenté l’humour: "Je ne vais pas en acheter très souvent parce que comme vous pouvez l’imaginer, il faut faire un peu attention, c’est un peu calorique", a-t-il plaisanté.
Sur Twitter, M. Copé a récidivé sur le même thème: "J’avoue être très soucieux de ma ligne … Donc pour dire vrai j’ai arrêté les +chocolatines+ depuis longtemps !" a-t-il écrit. Il est l’un des sept candidats à la primaire de droite les 20 et 27 novembre, pour laquelle l’ex-Premier ministre Alain Juppé est donné favori.