"Ce ne sont pas de millions de faits par jour, en revanche ce sont à chaque fois des souffrances, des humiliations, des malheurs qui ne passent jamais au journal de 20h", a-t-il affirmé, dans "Des paroles et des actes" sur France 2.
Le candidat à la présidence de l’UMP a listé des articles de presse évoquant "un garçon de 13 ans frappé pour non respect du ramadan", un autre pour avoir eu "une sucette à la bouche".
L’affaire du "pain au chocolat", "non seulement c’est une histoire vraie, mais c’en est une parmi d’autres", a-t-il constaté. "Plus l’extrême-droite monte, plus il est difficile à la droite de faire entendre sa voix (…) et plus la gauche peut tranquillement prospérer", a estimé M. Copé. "Tant pis si je dois supporter ce mot codé", celui de "droitisation", a-t-il lâché.