Etudiant italien supplicié: l’Egypte rejette les accusations contre sa police

Le ministre égyptien de l’Intérieur a vivement rejeté lundi les accusations visant les forces de sécurité dans la mort de l’étudiant italien Giulio Regeni, qui avait disparu au Caire et dont le corps a été retrouvé atrocement torturé 10 jours après.

« Cela n’est pas arrivé », a-t-il martelé lors d’une conférence de presse en réponse à un journaliste qui lui demandait si le jeune doctorant de Cambridge de 28 ans avait été « arrêté par la police ». « Nous rejetons ces accusations », ces « rumeurs », « nous n’acceptons pas même qu’on y fasse allusion, ce ne sont pas les pratiques des appareils de sécurité de l’Etat », a insisté Magdy Abdel Ghaffar.

"Cela n’est pas arrivé", a-t-il martelé lors d’une conférence de presse en réponse à un journaliste qui lui demandait si le jeune doctorant de Cambridge de 28 ans avait été "arrêté par la police". "Nous rejetons ces accusations", ces "rumeurs", "nous n’acceptons pas même qu’on y fasse allusion, ce ne sont pas les pratiques des appareils de sécurité de l’Etat", a insisté Magdy Abdel Ghaffar.

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