Dans une déclaration à la MAP, le révérend Schenk avait, à cette occasion, fait observer que le cas "éminemment humanitaire" de Ould Sidi Mouloud "met l’Algérie face à ses propres contradictions", appelant "les autorités de ce pays à faire preuve d’un tant soit peu d’humanisme".
Rob Schenck a, par la suite, égrené "la longue liste des violations des droits de l’Homme dans les camps de Tindouf sur le sol algérien", formant le vœu que "la raison et la vérité finiront par éclater au grand jour".
Et d’ajouter qu’Alger "ne peut se cacher derrière aucune excuse et devrait permettre aux populations de Tindouf d’aller où bon leur semblera sans aucune intimidation".
(Source MAP)