Essaouira, « Malibu » du Maroc (Daily Mail)

Des hôtels luxueux, un ciel ensoleillé, une gastronomie somptueuse, et des services de haut niveau pour les véliplanchistes, les golfeurs et les amateurs des sports équestres, ce sont tous les plaisirs qu’offre cette ville, mais à seulement quelques encablures du Royaume-Uni, écrit le journal britannique.

Cette ville atlantique s’enorgueillie également d’une "histoire fascinante et d’une architecture médiévale qui ont été mises à contribution dans le chef-d’oeuvre du septième art, Othello". Il y a même une place qui porte le nom du réalisateur du film, Orson Welles, remarque l’auteur.

En effet, Essaouira a su conserver ses atouts historiques qui ont servi d’attrait, depuis les années 1960, aux hippies de l’époque, mais aussi aux grands musiciens du calibre de Mick Jagger, Jimmy Hendrix et Maria Callas, entre autres.

Les souks de l’ancienne médina qui a été conçue par un architecte français, sont "exceptionnellement charmants, d’où le nom Es-Saouira, merveilleusement conçue". La médina elle-même est beaucoup plus facile à explorer que "les labyrinthes des anciennes médinas de Fès et de Tanger".

Et si le côté historique ne cesse de fasciner les amateurs des Ryads et de l’ancienne architecture, les hô tels de luxe sont là pour concurrencer leurs semblables à Paris et à New York.

Sur la place du port, le temps semble avoir marqué une pause depuis l’arrivée des Carthaginois, cinq siècles avant Jésus Chris. Les forteresses avoisinantes témoignent, elles, d’une "histoire violente" du temps des envahisseurs qui cherchaient "les trésors qu’ils croyaient dissimulés dans les remparts crénelés de la ville".

Les tours de surveillance qui ponctuent les remparts sont équipées de canon de bronze apportés des quatre coins de l’Europe en échange d’or, d’épices et de marchandises venues de l’Afrique via Timbuktu.

La ville est également le centre d’un héritage religieux riche. Autrefois comptant la plus importante population juive du Maroc, Essaouira est aujourd’hui le point de rencontre des juifs du monde qui viennent chaque année participer au pèlerinage du rabbi Chaim Pinto, enterré au 19ème siècle.

La diversité des services touristiques qu’offre la ville, et la richesse de son héritage historique, culturel et religieux lui valent le titre de "meilleure destination pour les parfaites vacances", conclut le journal.

Par ailleurs, +The Independent+ rappelle les nombreux avantages de la ville d’Agadir, à savoir 300 jours de soleil par an, une température d’automne de 24 degrés, et des plages à perte de vue.

La ville, située à la limite de la vallée du Souss aux pieds des monts de l’Anti-Atlas, est compacte et donc facile à explorer, ajoute le quotidien, qui souligne le côté culturel de la ville en tant qu’important point d’ancrage de la culture et de l’héritage amazighs.

Les multiples choix de vols offerts par les compagnies low-cost à partir de Londres, l’une des dernières ayant la compagnie britannique "BMI" qui lance, ce samedi, deux vols hebdomadaires vers la ville cô tière, rendent Agadir plus que jamais accessible à des prix très concurrentiels, souligne la publication.

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