Climat des affaires: le Canada au 2ème rang du classement mondial

Le Canada est arrivé à la 2ème position du nouveau classement mondial du climat des affaires réalisé par l’agence Bloomberg, où il a été devancé par Hong Hong et suivi par les Etats-Unis.

"Je suis ravi de voir que le Canada s’est hissé à la deuxième place dans cette évaluation mondiale du climat des affaires. Ce résultat n’est pas étonnant, compte tenu de la conclusion du cabinet KPMG selon laquelle le total des coûts fiscaux des entreprises au Canada est le plus bas du G7 et qu’il est de plus de 40 % inférieur à celui des Etats-Unis", a souligné le ministre canadien des Finances, Jim Flaherty, affirmant que c’est une nouvelle reconnaissance internationale du fait que le plan d’impôts bas du gouvernement d’Ottawa pour l’emploi et la croissance constitue "une saine formule économique".

Rappelant que ce résultat vient s’ajouter à la série de réussites du pays, comme l’obtention pour la sixième année consécutive du premier rang mondial attribué par le Forum économique mondial au chapitre de la solidité du système bancaire national, M. Flaherty a précisé que ces performances "montrent que l’utilisation responsable et disciplinée par le gouvernement de l’argent des contribuables pour soutenir la création d’emplois et favoriser la croissance économique porte ses fruits".

Le gouvernement du Canada demeure sur la bonne voie pour équilibrer le budget fédéral en 2015, ce qui contribuera à conserver de faibles taux d’intérêt, à attirer davantage d’investissements, à maintenir de faibles taux d’imposition et à assurer la viabilité des programmes sociaux, a-t-il indiqué.

Le Canada, qui s’était classé au sixième rang dans l’évaluation de l’agence Bloomberg en 2012, est actuellement l’un des rares pays qui continuent de se voir attribuer une cote de crédit AAA, assortie de perspectives stables, de la part de toutes les grandes agences de notation.

Selon le ministère canadien des Finances, l’utilisation responsable et disciplinée de l’argent des contribuables devrait permettre de dégager un excédent en 2015-2016.

Le fardeau fiscal fédéral du Canada est actuellement à son niveau le plus faible, en proportion du produit intérieur brut, depuis plus de 50 ans de même que le Canada affiche les coûts fiscaux les plus bas pour les entreprises parmi les pays du Groupe des Sept (G-7).

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