Christine Taubira: « Non, je n’ai pas menti et je ne démissionnerai pas »

Alors que la droite réclame sa tète, la ministre française de la Justice, Christiane Taubira, s’est expliquée mercredi matin à l’occasion du point-presse de la porte-parole du gouvernement. « Non je n’ai pas menti », a-t-elle répété trois fois. S’expliquant sur le calendrier, elle a indiqué qu’elle avait été mise au courant le 26 février de l’ouverture d’une information judiciaire suite aux écoutes de Nicolas Sarkozy. Et d’assurer qu’elle ne connaissait ni le contenu de ces écoutes, ni la date.

"Non, je n’ai pas menti et je ne démissionnerai pas."

"Les parangons de justice et de vertus demandent ma démission. Mais je n’ai absolument pas menti ! Je n’ai pas d’information sur la date, la durée et le contenu de l’information judiciaire. Conformément à la circulaire du 31 janvier 2014, aucun détail des procès verbaux n’est remonté à la Chancellerie. Non j’ai pas eu le compte-rendu des écoutes", a tenu à préciser la garde des Sceaux.

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