"Au nom de la liberté de la presse, j’ai toujours supporté sans broncher la publication d’articles mensongers à mon sujet et de photographies volées. J’ai pensé que leur prolifération au cours des dernières années était due à la singularité de ma position", écrit Mme Bruni-Sarkozy.
Mais "je constate aujourd’hui qu’une certaine presse continue à bafouer sans relâche mon droit à la vie privée, ceci à des fins purement mercantiles. C’est donc à regret et de guerre lasse que je me vois contrainte d’envisager des poursuites contre les journaux qui continueront à colporter des rumeurs et des informations portant gravement atteinte à ma vie privée ou à celle de ma famille", ajoute-t-elle.
"J’ai donc décidé de poursuivre le magazine Closer du 30 juin 2012", affirme l’ancienne première dame.
"Tout dédommagement financier qui me serait accordé dans le cadre de ces éventuelles poursuites serait intégralement versé à ma Fondation afin de financer des programmes d’accès à l’éducation et à la culture au profit de personnes défavorisées", ajoute Mme Bruni-Sarkozy.