L’explosion a frappé vers 09H00 (08H00 GMT) des bureaux de l’administration locale où des instituteurs et d’autres fonctionnaires se faisaient enregistrer, a indiqué un employé de cette administration.
En l’absence de revendication, les soupçons des résidents se portaient sur le groupe islamiste nigérian Boko Haram, très actif dans la région.