Selon l’agence officielle TAP, il était recherché depuis la fuite de l’ex-dictateur le 14 janvier 2011 en Arabie Saoudite, à la suite de plaintes déposées à son encontre dans de nombreuses affaires de malversations et d’infractions douanières.
Kaïs Ben Ali figure sur la liste dressée en vertu d’un décret-loi pris après la chute de l’ancien régime, portant saisie des avoirs et des biens mobiliers et immobiliers appartenant à 110 personnes dont l’ex-couple présidentiel, ses proches et son entourage.