"Ce que je sais c’est que j’avais des coups de boutoirs à peu près tous les trois mois, des plus hautes autorités de l’Etat, de déstabilisation systématique…", a-t-elle déclaré, réitérant ses déclarations faites la veille en conférence de presse.
Interrogée pour savoir si "les plus hautes autorités de l’Etat" signifiait "la présidence de la République", elle a répondu: "oui, parce que je contrecarrais des intérêts privés qui souhaitaient le démantèlement d’Areva, qui souhaitaient récupérer des morceaux, qui souhaitaient pouvoir privatiser en particulier la mine".