Amy Winehouse est morte d’une forte consommation d’alcool

La mort d’Amy Winehouse n’est plus un mystère. La chanteuse britannique, décédée le 23 juillet, a succombé à une forte consommation d’alcool, conclut l’enquête. L’autopsie a révélé un taux d’alcoolémie compris entre 3 et 4 g d’alcool par litre de sang, soit quatre à cinq fois la limite autorisée en Grande-Bretagne, 0,8 g/ litre de sang. Cela confirme l’hypothèse d’un choc consécutif à un "stop and go", une consommation abusive d’alcool après une période d’abstinence.

La police avait retrouvé dans l’appartement trois bouteilles de vodka. Il est possible, selon l’enquête, que la quantité d’alcool dans son corps l’ait empêchée de respirer, et qu’elle ait sombré dans le coma. Son garde du corps, Andrex Morris, avait jeté un œil à la chanteuse à 10h ce matin là, et pensé qu’elle dormait. Quand il avait reparu cinq heures plus tard, à 3h de l’après-midi, elle n’avait pas bougé.

Aucune trace de drogue n’avait été décelée lors de l’autopsie. Le décès d’Amy Winehouse avait entraîné la tristesse de millions de fans.

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