Une coalition de cinq partis d’opposition appelle au boycottage, plaidant en faveur d’une "transition démocratique", tandis que le mouvement Barakat ("Ça suffit"), hostile à un quatrième mandat de M. Bouteflika, juge que cette élection est "un non-événement", sans toutefois appeler directement à son boycottage.
Le président sortant a été victime d’un AVC l’an dernier, qui l’a conduit à être hospitalisé pendant trois mois à l’hôpital du Val-de-Grâce, à Paris.
Il est candidat face à cinq adversaires dont son principal rival, l’ancien chef du gouvernement Ali Benflis.