"Avant on considérait que l’accès à l’eau était un enjeu pour d’autres, aujourd’hui tous déclarent qu’il y a urgence à agir, la sonnette d’alarme est tirée", a souligné le ministre français de la Coopération, Henri de Raincourt.
Le ministre bolivien de l’Eau et de l’Environnement, Felipe Quispe Quenta a, lui, contesté l’approbation unanime du texte de la déclaration ministérielle qui a été le fruit d’un consensus. "On a exprimé notre désaccord lors de la rédaction de la déclaration et nous n’avons pas été entendus, la Bolivie n’acompagne pas cette déclaration ministérielle", a-t-il déclaré devant des journalistes. Selon lui, d’autres ont également exprimé leur désaccord dont son collègue de l’Equateur.